Music World
 
Find Artists:
 
 
 
Russian versionSwitch to Russian 
Mylène Farmer
Mylène Farmer


Background information
Birth name Mylène Jeanne Gautier
Born September 12, 1961
Origin Montreal, Quebec, Canada
Genre(s) Pop
Electronica
Rock
Years active 1984—present
Label(s) Polydor
Associated acts Seal
Moby
Archive
Alizée
Jean-Louis Murat



Music World  →  Lyrics  →  M  →  Mylène Farmer  →  Albums  →  Mylenium Tour

Mylène Farmer Album


Mylenium Tour (2000)
2000
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
18.
19.
. . .


instrumental

. . .


Quel monde n'a pas connu le souffle
Du néant
Ressenti l'émoi devant les "Puissances
Du Dedans", dis?
Quelle maison n'a jamais pleuré
Un enfant
Quel ange n'est tombé devant la beauté
Du couchant?, vois

Quel vertige s'empare de nos souffles
A présent
L'Anathème est lourd, les serments brûlants
C'est troublant, dis?
Quelle est celle qui ne s'est noyée
Dans ses larmes
L'océan a froid, ma vie comme la
Fille de Ryan

Tu es l'Amour Naissant
Gravé sur la pierre
Stèle des amants,
Vois comme c'est lourd, c'est lent
C'est un revolver, Père,
Trop puissant

Quelle Iralnde voudrait oublier
Ses légendes
Je ressens l'émoi devant ses "Puissances
Du Dedans", dis?
Quel frisson de m'anéantir
Dans ton ventre
L'océan a froid, ma vie comme la
Fille de Ryan


. . .


En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi, quand ça ne va pas
Il n'y a que ça qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...

Partager mon ennui le plus abyssal
Au premier venu qui trouvera ça banal

J'ouis tout ce que tu confesses
Et l'essaim scande l'ivresse
J'ouis tous ceux que tu condamnes
T'éreintent, te font du charme

C'est L'AME STRAM GRAM

En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ça ne va pas
Il n'y a que ça qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...

En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ça ne va pas
Imisce, et glisse l'abdomen
Dans l'orifice à moi

Des absents, un bourdon, une oreille amie
Confidences sur divan, on se psychanalyse...

J'ouis tout ce que tu susures
Et l'essaim bat la mesure
J'ouis tes oedipes complexes
Et l'essaim se manifeste

C'est L'AME STRAM GRAM

Am Stram Gram Pique et Pique Et Collegram
Bourre et Bourre et Ratatam
Âme Stram Gram pique dame
Am Stram Gram Pique Et Pique Moi dans l'Âme
Bourrée Bourrée De Noeuds Mâles
L'Âme Stram Gram pique dames

En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ça ne va pas
Il n'y a que ça qui nous gouverne
Dis moi combien de fois...

En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ça ne va pas
Imisce, et glisse l'abdomen
Dans l'orifice à moi

En moi, en moi, toi que j'aime
Dis moi, dis moi quand ça ne va pas...


. . .


Je ne comprends plus pourquoi
J'ai du sang sur mes doigts
Il faut que je te rassure
Je soignerai bien tes blessures/mon amour

Tu n'as plus vraiment le choix
Nos deux corps étendus, là
Qu'à l'aube ils se mélangent
Là tu as les yeux d'un ange/mon amour

Lâche! (It's beyond my control)
C'est plus fort que ... Toi
Toujour en cavale (It's beyond my control)
Tu dis:J'ai besoin de .. Tes bras
Oh lâche ! (It's beyond my control)
Mais c'est plus fort que ... Toi
Tu nous fais du mal (It's beyond my control)
Ne t'éloignes pas de mes .. Bras

Je ne comprends plus pourquoi
J'ai du sang sur mes doigts
Dors en paix je t'assure
Je veillerai ta sépulture/mon amour

C'était plus fort que moi
Même si je sens là l'effroi
Envahir tout mon être
Je te rejoindrai peut-être/mon amour

Lâche! (It's beyond my control)
C'est plus fort que ... Toi
Toujour en cavale (It's beyond my control)
Tu dis:J'ai besoin de .. Tes bras
Oh lâche ! (It's beyond my control)
Mais c'est plus fort que ... Toi
Tu nous fais du mal (It's beyond my control)
Ne t'éloignes pas de mes .. Bras

. . .


D'avoir mis son âme dans tes mains
tu l'as froissé comme un chagrin
et d'avoir condamné vos différences
nous ne marcherons plus ensemble

Sa vie ne bat plus que d'une aile
dansent les flammes, les bras se lèvent
là où il va il fait un froid mortel
si l'homme ne change de ciel
pourtant, j'ai êvé

J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
au souffle du vent
s'élevait l'âme, l'humanité
son manteau de sang
j'irai cracher sur vos tombeaux
n'est pas le vrai, n'est pas le beau
j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer

A quoi bon abattre des murs
pour y dresser des sépultures
à force d'ignorer la tolérance
nous ne marcherons plus ensemble

Les anges sont las de nous veiller
nous laissent comme un monde avorté
suspendu pour l'éternité
le monde comme une pendule
qui s'est arrêtée

J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
au souffle du vent
s'élevait l'âme, l'humanité
son manteau de sang
j'irai cracher sur vos tombeaux
n'est pas le vrai, n'est pas le beau
j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer

J'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer
j'avois rêvé du mot aimer

. . .


Tant de jours
De nuits trop brèves
Ces sourpirs
Que tu achèves
Sans y croire, dérisoire

Tu voudrais
D'un autre monde
Je te sens
La proie d'une ombre
Illusoire, il faut me croire.

Il n'y a pas d'ailleurs
Il n'y a pas d'ailleurs
Tu sais que ta vie, c'est ici
Il n'y a pas d'ailleurs
Il n'y a pas d'ailleurs
Tu sais que ta vie
C'est la mienne aussi

Pour renaître
Des tes cendres
Il te faudra
Réapprendre
Aimer vivre, rester libre

Délaisser
Tes amertumes
Te frayer
Jusqu'à la lune
Un passage, il me faut me croire

. . .


Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?

Je me sens toute seule
Je suis toute seule

Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?

Allô oui c'est moi
Allô oui c'est moi
Tu n'es pas la
Tu n'es pas la

Allô oui c'est moi, tu n'es pas la
Allô oui c'est moi
Allô oui c'est moi, tu n'es pas la?
Je me sens toute seule
Tu n'es pas la?



. . .


"Je me fous de tes détresses
comme de tout et du reste..."
C'est ça, le temps qui passe
"Je me fous de tes angoisses
elles m'ont nourrie mais me lassent..."
C'est ça, c'est le temps qui passe
"Je fais fi de tes "je t'aime",
ils sont des cris qui m'enchaînent..."
C'est ça l'amour
C'est quoi l'amour?
"tu ne vis pas, c'est morbide"
En somme, je suis pathétique,
C'est ça l'amour
Papa n'était pas comme ça, quand...

Il disait tout bas :
"Petit bouton de rose,
aux pétales humides,
un baiser je dépose"
Optimistique-moi, Papa
Optimistique-moi, quand j'ai froid
Je me dis, tout bat
Quand rien ne s'interpose,
Qu'aussitôt, tes câlins
Cessent toute ecchymose
Optimistique-moi, Papa
Optimistique-moi, reviens-moi...

"Tu te fous de mes ténèbres
comme de tout, et comme du reste..."
C'est ça le temps qui passe
"Fais fi des signes du ciel
seuls les faits, sont ton bréviaire..."
C'est ça le temps qui passe
Tu dis: "assez des histoires
Ton passé est préhistoire..."
C'est ça l'amour
C'est quoi l'amour?
Crucifie-moi Ponce Pilate
Noie-toi dans l'eau écarlate
L'amour est loin
Papa était plus malin, quand...

Il disait tout bas :
"Petit bouton de rose,
aux pétales humides,
un baiser je dépose"
Optimistique-moi, Papa
Optimistique-moi, quand j'ai froid
Je me dis, tout bat
Quand rien ne s'interpose,
Qu'aussitôt, tes câlins
Cessent toute ecchymose
Optimistique-moi, Papa
Optimistique-moi, reviens-moi...

. . .


Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces

Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces

Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces
Qu'elles soient douces

EH MEC!
Ton regard oblique
En rien n'est lubrique
Ta maman t'a trop fessé
Ton goût du revers
N'a rien de pervers
Et ton bébé n'est pas faché

Ton Kamasutra
A bien cent ans d'âge
Mon Dieu que c'est démodé
Le nec plus ultra
En ce paysage
C'est d'aimer les deux cotés

Ta majesté
Jamais ne te déplaces!
Sans ton petit oreiller
A jamais je suis
Ton unique classe
Tout n'est que prix à payer

Tu fais des Ah! des Oh!
Derrière ton ouvrage
Quand mon petit pantalon
Debout et de dos
Sans perdre courage
Dénude tes obsessions

Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !

OK!
Prose ou poésie
Tout n'est que prétexte
Pas la peine de t'excuser
Muse ou égérie
Mes petits fesses
Ne cessent de t'inspirer

Je fais de Ah! des Oh!
Jamais ne me lasse
Par amour pour un toqué
Ne faut-il pas que
Jeunesse se passe
A quoi bon se bousculer?

Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !

Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !

Un maman a tort
Deux cґest beau lґamour
Trois lґinfirmière pleure
Quatre je lґaime
Cinq il est dґmon droit
Six de tout toucher
Sept jґmґarréte pas là
Huit jґmґamuse

Un maman a tort
Deux cґest beau lґamour
Trois lґinfirmière pleure
Quatre je lґaime
Cinq il est dґmon droit
Six de tout toucher
Sept jґmґarréte pas là
Huit jґmґamuse

Je je suis libertine
Je suis une catin
Je je suis si fragile
Quґon me tienne la main

Je je suis libertine
Je suis une catin
Je je suis si fragile
Quґon me tienne la main

Puisqu'il faut choisir
A mots doux je peux le dire
Sans contrefaçon
Je suis un garçon
Et pour un empire
Je ne veux me dévêtir
Puisque sans contrefaçon
Je suis un garçon

Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !

Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un poète tu n'as que la lune en tête
Des mes rondeurs tu es K.O.!
Tu t'entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu'elles soient douces
D'un esthète tu n'as gardé qu'un "air bête" ...
Tout est beau si c'est "Vue de dos" !

Tu t'entêtes
Tu t'entêtes

. . .


Loin tres loin du monde
Ou rien ne meurt jamais
J'ai fait ce long,
Ce doux voyage.

Nos âmes se confondent
Aux neiges éternelles
L'amour cachait
Son vrai visage

Oh viens, ne sois plus sage
Apres tout qu'importe
Je sais la menace
Des amours mortes

Gardons l'innocence
Et l'insouciance
De nos jeux d'antan, troublants

N'aie pas de regret
Fais moi confiance, et pense
A tous les no way
L'indifférence des sens
N'aie pas de regret
Fais la promece, tu sais que
L'hiver et l'automne n'ont pu s'aimer

Debout la tete ivre
Des reves suspendus
Je bois a nos amours
Infirmes

Au vent que je devine
Nos levres éperdues
S'offrent des noces
Clandestines

N'ouvre pas la porte
Tu sais le piege
De tous les remords
De l'anatheme

Je me fous des saisons
Viens je t'emmene
La, ou dorment ceux qui s'aiment

N'aie pas ... (Viens ce soir)
De regret (Viens me voir)
Fais moi confiance, et pense
A tous... (Viens t'asseoir)
Les no way (Pres de moi)
L'indifférence des sens
N'aie pas... (L'aube est la)
De regret (Reste la)
Fais la promece, tu sais que (Je te promets)
L'hiver et l'automne (D'etre la)
N'ont pu s'aimer (Pour l'éternité)

. . .


Nager dans les eaux troubles
Des lendemains
Attendre ici la fin
Flotter dans l'air trop lourd
Du presque rien
A qui tendre la main

Si je dois tomber de haut
Que ma chute soit lente
Je n'ai trouvé de repos
Que dans l'indifférence
Pourtant, je voudrais retrouver l'innocence
Mais rien n'a de sens, et rien ne va

Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux: des mots
Abimés...
Je cherche une âme, qui
Pourra m'aider
Je suis
Génération désenchantée,
Désenchantée

Qui pourrait m'empécher
De tout entendre
Quand la raison s'effondre
A quel sein se vouer
Qui peut prétendre
Nous bercer dans son ventre

Si la mort est un mystére
La vie n'a rien de tendre
Si le ciel a un enfer
Le ciel peut bien m'attendre
Dis moi,
Dans ces vents contraires comment s'y prendre
Plus rien n'a de sens, plus rien ne va

Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux: des mots
Abimés...
Je cherche une âme, qui
Pourra m'aider
Je suis
Génération désenchantée,
Désenchantée

Tout est chaos
A côté
Tous mes idéaux: des mots
Abimés...
Je cherche une âme, qui
Pourra m'aider
Je suis
Génération désenchantée,
Désenchantée

. . .


Il m'a fallu l'impasse
Donner ma langue au chat
Pour contrer l'existence
I.A.O
I.A.O
Mon Q.I est tenace
Ma patience un état
Dompter les apparences
I.A.O
I.A.O
Les chemins sont multiples
Tout est question de choix
Au diable les proses brutales
Les colères homériques
Tout ça n'importe quoi
Il existe arme redoutable
I.A.O
I.AO

Méfie-toi des puissances
Méfie-toi de l'aisance
Au jeu du corps à corps
L'esprit est bien plus fort
Méfie-toi des puissances
des vierges sans défenses
Leurs forces sont subtiles
La force est féminine
Et quand l'esprit frappe,
C'est un fouet qui claque
Méfie-toi quand même
c'est la onzième lame
majeure est l'arcane
Vierge iconoclaste
Dieu que l'icône est classe
5, 4, 3, 2,

Il m'a fallu l'épreuve
De : c'est chacun pour soi
Avaler les couleuvres
I.A.O
I.A.O
Mon karma est tenace
On est selon Bouddha
Héritiers de nos actes
I.A.O
I.A.O
Les chemins sont multiples
Tout est question de choix
Et aux paroles mortifères
Mieux qu'une arithmétique
L'esprit fort est le roi
Il règne ainsi sur la matière
I.A.O
I.AO

Méfie-toi des puissances
Méfie-toi de l'aisance
Au jeu du corps à corps
L'esprit est bien plus fort
Méfie-toi des puissances
des vierges sans défenses
Leurs forces sont subtiles
La force est féminine
Et quand l'esprit frappe,
C'est un fouet qui claque
Méfie-toi quand même
c'est la onzième lame
majeure est l'arcane
Vierge iconoclaste
Dieu que l'icône est classe
5, 4, 3, 2,

Méfie-toi des puissances
Méfie-toi de l'aisance
Au jeu du corps à corps
L'esprit est bien plus fort
Méfie-toi des puissances
des vierges sans défenses
Leurs forces sont subtiles
La force est féminine
Et quand l'esprit frappe,
C'est un fouet qui claque
Méfie-toi quand même
c'est la onzième lame
majeure est l'arcane
Vierge iconoclaste
Dieu que l'icône est classe
5, 4, 3, 2,


. . .


Quelle solitude
De mourir
Sans certitude
D'être au moins

Une particule
De vie
Un point minuscule
Utile à quelqu'un

Quelle solitude
D'ignorer
Ce que les yeux
Ne peuvent pas voir

Le monde adulte
Isolé
Un monde abrupt
Et là, je broie du noir

Quelle solitude
De se dire
Que la morsure
Du temps n'est rien

Le rêve est bulle
De vie
Un bien majuscule
Utile au chagrin

Déconfiture
Des pépins
Mais je veux croire
En l'au-delà

Et vivre est dur
Toujours un choix
Mais je jure
Que le Monde est à moi

Il est à moi...
Il est à moi...
Il est à moi...
Il est à moi...le Monde

Dessine-moi un mouton
Le ciel est vide sans imagination
C'est ça
Dessine-moi un mouton
Redevenir l'enfant que nous étions
Dessine-moi un mouton
Le monde est triste sans imagination
C'est ça
Dessine-moi un mouton
Apprivoiser l'absurdité du Monde

Il est à moi ...
Il est à moi ...
Il est à moi ...

. . .


Aéroport, aérogare
mais pour tout l'or m'en aller
c'est le blues, l' coup d' cafard
le check out assuré
vienne la nuit et sonne l'heure
et moi je meurs
entre apathie et pesanteur
où je demeure
changer d'optique, prendre l'exit
et m'envoyer en Amérique
sex appeal, c'est Sunset
c'est Marlboro qui me sourit
mon amour, mon moi, je
sais qu'il existe
la chaleur de l'abandon
c'est comme une symphonie

c'est sexy le ciel de Californie
sous ma peau j'ai L.A. en overdose
so sexy le spleen d'un road movie
dans l'rétro ma vie qui s'anamorphose

j'ai plus d'I.D., mais bien l'idée
de me payer le freeway
c'est l'osmose, on the road
de l'asphalte sous les pieds
vienne la nuit, c'est le jet lag
qui me décale
L.A.P.D. me donne un blâme
c'est pas le drame
se faire un trip, s'offrir un streap
sous le soleil en plein midi
six a.m., j'suis offset
j'suis l'ice dans l'eau, j'suis mélo, dis
mon amour, mon Wesson
mon artifice
la chaleur du canon
c'est comme une symphonie

c'est sexy le ciel de Californie
sous ma peau j'ai L.A. en overdose
so sexy le spleen d'un road movie
dans l'rétro ma vie qui s'anamorphose


. . .


Il est des heures, où
Les ombres se dissipent
La douleur se fige
Il est des heures, où
Quand l'être s'invincible
La lèpre s'incline
Mais
Si j'avais pu voir qu'un jour
Je serai qui tu hantes
Qu'il me faudrait là, ton souffle,
Pour vaincre l'incertitude
Ecrouer ma solitude

Il est des heures, où
Les notes se détachent
Les larmes s'effacent
Il est des heures, où
Quand la lune est si pâle
L'être se monacale
Mais
Je erre comme une lumière
Que le vent a éteinte
Mes nuits n'ont plus de paupières
Pour soulager une à une
Mes peurs de n'être plus qu'une

Je n'ai pas le temps de vivre
Quand s'enfuit mon équilibre
Je n'ai pas le temps de vivre
Aime-moi, entre en moi
Dis-moi les mots qui rendent ivres
Dis-moi que la nuit se déguise
Tu vois, je suis
Comme la mer qui se retire, de
N'avoir pas su trouver tes pas...

Il est des heures, où
Mes pensées sont si faibles
Un marbre sans veines
Il est des heures, où
L'on est plus de ce monde
L'ombre de son ombre
Dis
De quelle clef ai-je besoin
Pour rencontrer ton astre
Il me faudrait là, ta main,
Pour étreindre une à une
Mes peurs de n'être plus qu'une...

. . .


M'extraire du cadre
Ma vie suspendue
Je rêvais mieux
Je voyais l'âtre
Tous ces inconnus
Toi parmi eux
Toile
Fibre qui suinte
Les meurtrissures
Tu voyais l'âme
Mais j'ai vu ta main
Choisir Gauguin

Je te rends ton amour
Redeviens des contours
Je te rends ton amour
C'est mon dernier recours
Je te rends mon amour
Au moins pour toujours
Redeviens des contours
" La femme nue debout "

L'extraire du cadre
La vie étriquée
D'une écorchée
J'ai cru la fable
D'un mortel aimé
Tu m'a trompée Toi
Tu m'as laissée
Me compromettre
Je serai " l'unique "
Pour des milliers d'yeux
Un nu de maître

Je te rends ton amour
Au moins pour toujours
Je te rends ton amour
Le mien est trop lourd
Je te rends ton amour
C'est plus flagrant le jour
Ses couleurs se sont diluées
Et je te rends ton amour
Redeviens les contours
De mon seul maître: Egon Shiele et ..

. . .


Qnaud le vent a tout disperse
Souviens-toi
Quand la memoire a oublie
Souviens-toi...

Souviens-toi que l'on peut tout donner
Souviens-toi que l'on peut tout briser
Et si c'est un Homme....
Si c'est un Homme
Lui parler d'amour a volonte
D'amour a volonte

Souviens-toi que l on peut tout donner
Quand on veut qu'on se rassemble
Souviens-toi que l'on peut toput briser
Les destins sont lies
Et si c'est un Homme....
Si c'est un Homme
Lui parler d'amour a volonte
D'amour a volonte

Le souffle a peine echappe
Les yeux sont mouilles
Et ces visages serres
Pour une minute
Pour une eternite
Les mains se sont elevees
Les voix sont nouees
Comme une etreinte du monde
A l'unisson
A l'Homme que nous serons...

Souviens-toi que le monde a change
Au bruit des pas qui resonnent
Souviens-toi des jours desenchantes
Aux destins muets
Et si c'est un Homme....
Si c'est un Homme
Lui parler d'amour a volonte
D'amour a volonte

. . .


Sentir ton corps,
Tout ton être qui se tord
Souriant de douleur
Sentir ton heure
Poindre au coeur
D'une chambre qui bannit le mot tendre
Sentir ta foi
Qui se dérobe
À chaque fois que tu sembles comprendre
Parles moi encore
Si tu t'endort
Si c'est ton souhait
Je peux t'accompagner
Qui te condamne
Au nom de qui
Mais qui s'acharne
À souffler tes bougies
Est-ce te mentir?
Est-ce te trahir?
Si je t'inventes des lendemains qui chantent
Vois-tu le noir de ce tunnel?
Sais-tu l'espoir quand jaillit la lumière
Ton souvenir ne cessera jamais
De remuer la couteau dans mon plaie

. . .


Toi qui n'as pas su me reconnaître
Ignorant ma vie, ce monastère, j'ai
Devant moi une porte entrouverte
Sur un peut-être
Même s'il me faut tout recommencer

Toi qui n'as pas cru ma solitude
Ignorant ses cris, ses angles durs. J'ai
Dans le coeur un fil minuscule
Filament de lune
Qui soutient là, un diamant qui s'uses ...
Mais qui aime

J'n'ai pas choisi de l'être
Mais c'est là, "L'INNAMORAMENTO"
L'amour, la mort, peut-être
Mais suspendre le temps pour un mot
Tout se dilate et cède à tout
Et c'est là, "L'INNAMORAMENTO"
Tout son être s'impose à nous
Trouver enfin peut-être un écho

Toi qui n'as pas vu l'autre côté, de ...
Ma mémoire aux portes condamnées, j'ai
Tout enfoui les trésors du passé
Les années blessées
Comprends-tu qu'il me faudra cesser ...

Moi qui n'ai plus regardé le ciel, j'ai
Devant moi cette porte entrouverte, mais
L'inconnu a meurtri plus d'un coeur
Et son âme soeur
On l'espère, on l'attend, on la fuit même
Mias on aime

. . .


blog comments powered by Disqus



© 2011 Music World. All rights reserved.