J’étais cool assis sur un banc, c’était au printemps
Ils cueillent une marguerite, ce sont deux amants
Overdose de douceur, ils jouent comme des enfants
Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément
Mais à la suite d’une douloureuse déception sentimentale
D’humeur chaleureuse je devenais brutal
La haine d’un être n’est pas dans nos prérogatives
Tchernobyl, tcherno-débile! Jalousie radioactive
Caroline était une amie, une superbe fille
Je repense à elle, à nous, à nos cornets vanille
A sa boulimie de fraises de framboises de myrtilles
A ses délires futiles, à son style pacotille
Je suis l’as de trèfle qui pique ton coeur, Caro-Line
Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur
Je suis l’homme qui tombe à pic, pour prendre ton coeur
Il faut se tenir à carreau, caro ce message vient du coeur
Une pyramide de baisers, une tempête d’amitié
Une vague de caresse, un cyclone de douceur
Un océan de pensées, Caroline je t’ai offert un building de tendresse
J’ai une peur bleue, je suis poursuivi par l’armée rouge
Pour toi j’ai pris des billets verts, il a fallu qu’je bouge
Pyromane de ton coeur, Canadair de tes frayeurs
Je t’ai offert une symphonie de couleurs
Elle est partie, maso, avec un vieux macho
Qu’elle avait rencontré dans une station de métro
Quand je les vois main dans la main fumant le même mégot
Je sens un pincement dans son coeur, mais elle n’ose dire un mot
Je suis l’as de trèfle qui pique ton coeur, Caro-Line
Claude MC prend le microphone genre love story ragea muffin
Pour te parler d’une amie qu’on appelle Caroline
Elle était ma dame, elle était ma came
Elle était ma vitamine
Elle était ma drogue, me dope, ma coke, mon crack
Mon amphétamine, Caroline
Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie
Remets donc le film à l’envers, magnéto de la vie
Pour elle, faut-il l’admettre, des larmes ont coulé
Hémorragie oculaire, vive notre amitié
Du passé, du présent, je l’espère du futur
Je suis passé pour être au présent dans ton futur
La vie st un jeu d’cartes, Paris un casino
Je joue les rouges ... CŒur, caro
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