Patrick Fiori
"L'effet Mère"
Des feux de la saint jean
A l'espérance qui ment,
Dès que je pense à elle, tout s'éclaire.
Des envies de grandir
Pour conquérir le monde,
Pour la voir me sourire, tout s'éclaire.
C'est l'effet mère,
C'est comme un feu de joie
Qui danse et meurt,
Ne brûle qu'entre elle et toi.
C'est comme l'amour mais c'est sans fin
C'est comme le temps,
C'est l'effet mère.
Des flammes de l'impatience
Aux amours qui s'élancent,
Du haut de nos quinze ans, tout s'éclaire.
Tous ces rêves qui défilent,
Les lumières de la ville
Et les feux de la rampe, tout s'éclaire.
C'est l'effet mère
C'est comme un feu de joie,
Qui danse et meurt
Ne brûle qu'entre elle et toi.
C'est comme l'amour mais c'est sans fin,
C'est comme le temps,
C'est l'effet mère.
Les nuits américaines,
Quand les jours sont trop longs,
Les passions incertaines tout s'éclaire.
Même l'aube qui déplie les rayons du soleil,
Pour assécher nos pluies, tout s'éclaire.
C'est l'effet mère,
C'est comme un feu de joie
Qui dans ses mains
Ne brûle qu'entre elle et toi.
C'est comme l'amour mais c'est sans fin,
C'est comme le temps,
C'est éphémère
Mais c'est un feu de joie
Qui dans mes mains ne brûle qu'entre elle et moi.
C'est un amour et c'est sans fin,
C'est son enfant qui la fait mère.