Jean-Louis Aubert
"Toi Que L'on N'homme Pas"
Ah il faudra que tu traces dans le creux de ma main une ligne immense
Comme une route comme une blessure
Qui m'approche de toi qui m'approche de moi
Ah il faudra que tu glisses dans le creux
De mon oreille les mots qu'il faut
Que tu les laisses rouler dans le creux
De ma joue je veux vivre comme il faut
Tu es le feu
Tu es les larmes
Tu es la fondation
Tu es la tendresse
Tu es la tristesse
La destinée
Toi que l'on n'homme pas eh eh toi que l'on n'homme pas
Ah il faudra que je pense à te téléphoner
Toi qui n'as pas de numéro
Tu es pénible à joindre
A joindre les 2 bouts
Qui font tenir debout
Tu es le feu
Tu es les larmes
Tu es la fondation
Tu es la tendresse
Tu es la tristesse
La destinée
Toi que l'on n'homme pas
Quand tu as décidé de nous laisser tomber
Nous on tombe par terre
Quand tu as décidé d'un peu nous monter
Nous on s'envoie en l'air
Toi que l'on n'homme pas
Toi que l'on a du mal à dire
Toi que l'on a du mal à croire
On sait quand tu es là
Et le reste du temps
On t'attend